Le siphon
Nous avons pris 2 bacs, nous en avons placé un, rempli d’eau,
sur une chaise et l’autre par terre puis
nous avons pris un tuyau que nous avons entièrement plongé dans l’eau. Des
bulles d’air se sont échappées. Ensuite, nous avons bouché une extrémité et
nous l’avons sortie de l’eau pour la placer au dessus du deuxième bac. L’autre extrémité
devait rester dans l’eau. Après, nous avons enlevé notre doit qui bouchait et l’eau
est sortie à grand débit jusqu’à ce que le premier bac soir vide.
Nous n’y sommes pas tous arrivé car s’il reste un peu d’air
dans le tuyau, il ne se passe rien.
Nous avons donc essayé une deuxième technique qui consistait
à aspirer à l’une des extrémités jusqu’à ce que l’eau arrive à notre bouche,
puis il fallait boucher cette extrémité et recracher l’eau. Ensuite, nous
mettions l’extrémité bouchée au dessus du deuxième bac et l’eau s’écoulait d’un
bac à l’autre. Cette méthode est plus facile car lorsque l’eau entre dans notre
bouche, on est sur qu’il n’y a plus d’air dans le tuyau. Cette expérience nous
a beaucoup plu car nous n’y arrivions pas puis ensuite nous étions très heureux
de réussir
Le château d’eau
Nous avons pris 2 bouteilles en plastique avec le fond
découpé, nous les avons relié par le goulot avec un tuyau et ajouté de la pâte
à modeler pour éviter les fuites. Nous avons ensuite mis la construction à l’envers
et rempli une des bouteilles (par le fond). La moitié de l’eau s’est rependue
dans la deuxième bouteille. Après, nous avons surélevé une des 2 bouteilles et
nous avons été très surpris car l’eau s’est totalement rependue dans la
bouteille la plus basse. Nous avons inversé les hauteurs de bouteille et nous
avons observé le même phénomène qui s’est reproduit. Nous avons donc conclu que
les châteaux d’eau doivent être placés en hauteur dans la ville de façon à ce
qu’ils envoient l’eau vite dans les maisons. Nous avons maintenant bien compris
le système de fonctionnement des châteaux d’eau.
Nous avons construit une petite règle de 20 cm sur du papier canson que nous avons entouré de scotch. Ensuite nous avons pris une grande bouteille et nous avons coupé le haut. Après, nous avons collé la petite règle sur la bouteille en mettant le 0 tout en bas.
Nous avons ensuite emmené chacun notre bouteille à la maison et nous allons pouvoir comparer la quantité de pluie qu’il tombe dans chaque ville où nous habitons.
Sacha, CE2
Sacha, CE2
La dilatation
On a rempli un petit bocal d’eau très chaude jusqu’au bord et un grand bocal d’eau froide.
Dans le petit bocal, nous avons versé 8 gouttes d’encre puis nous l’avons plastifié. Une fois plastifié (avec du film alimentaire tenu par un élastique), nous avons fait couler dans le grand bocal. Une fois bien en place, nous avons pris un crayon bien taillé et nous avons percé le film plastique, ensuite nous avons appuyé sur le plastique, nous avons alors vu de l’encre sortir du bac et monter en haut de l’eau froide. L’eau plus chaude reste en haut de l’eau froide, c’est parce que l’eau chaude est plus dense que l’eau froide, c’est la dilatation.
Hugo C et Théo, CE2
On a pris une bouteille d’eau vide mais il fallait qu’il
reste quelques gouttes. La bouteille fermée, on a appuyé plusieurs fois sur les
parois, nous avons ensuite enlevé le bouchon et appuyé doucement sur la
bouteille, on a vu un nuage de fumée (vapeur) sortir.
Ensuite, nous avons redonné sa forme a la bouteille puis la
maîtresse a mis une allumette éteinte dedans, on devait refermer avec le
bouchon le plus vite possible. Nous avons ensuite appuyé fort sur les parois de
la bouteille plusieurs fois. Ensuite, un enfant devait tenir une feuille noire
derrière la bouteille et l’autre devait enlever le bouchon et écraser doucement
la bouteille. Nous avons vu un nuage plus foncé sortir. (la vapeur était polluée).
Lou-Ann
et Hugo C, CE2
La brique à trou
Nous avons fait 4 trous les uns en dessous des autres au niveau du petit côté de la brique puis on a mis du scotch sur les trous et avons rempli la brique d’eau jusqu’en haut. Nous avons remarqué que si on oublie de déboucher la brique lorsqu’on enlève le scotch, l’eau ruisselle le long de la paroi alors que sinon, plus les trous étaient bas, plus l’eau jaillissait fort, c’est la pression.
Pauline, CE2
La vapeur et la condensation
Nous avons pris 2 récipients, puis dans l’un nous avons mis
de l’eau bouillante jusqu’à la moitié et dans l’autre, qui a un fond plat), nous avons mis des glaçons. Nous avons bouché
le récipient d’eau bouillante en posant l’autre par-dessus. Nous ne les avons
plus touchés pendant 5 à 10 minutes. Nous avons déjà pu observer un nuage qui
s’est formé entre l’eau bouillante et le récipient du dessus et même de la
pluie qui tombait ! D’un coup, nous avons enlevé le récipient du haut et
grâce à la feuille noire placée derrière l’expérience, nous avons vu un nuage
de vapeur sortir ! Nous avons aussi observé la condensation sous le
récipient qui se trouvait au dessus, c’est la condensation.
Benjamin
et Noa, CE2
La paille
Pour faire cette expérience, il
fallait un pot en verre et une paille. Nous avons mis de l’eau dans le pot
ensuite nous avons aspiré l’eau avec la paille et rebouché avec un doigt. L’eau
restait alors piégée dans la paille et nous pouvions la mettre dans un autre pot. En fait, l’eau
tombe par gravité dès que l’air vient appuyer sur elle : l’air fait
pression mais quand on bouche la paille avec notre doigt, l’air ne peut plus
faire pression et donc l’eau reste prisonnière dans la paille.
Nolann
et Pauline, CE2
Les
fleurs colorées
Il y avait deux bouquets de fleurs blanches, nous avons
coupé les tiges puis nous les avons mis dans deux vases différents. Dans le
premier, il y avait de l’eau simple et dans le second, de l’encre rouge et
bleue mélangée à l’eau.
Quelques jours plus tard, nous sommes venu voir ce qu’il
s’était passé, nous avons constaté que dans les 2 vases, le niveau d’eau avait
diminué, du à l’évaporation et aux fleurs qui se sont nourri, à par ça, l’expérience
n’avait pas marché, nous avons donc essayé en mettant juste de l’encre bleu
dans une tasse et une fleur avec une petite tige dedans.
Plusieurs jours plus tard, nous avons pu constater que la
petite fleur dans la tasse était bleue. Nous avons essayé de comprendre
pourquoi l’expérience avait fonctionné cette fois. Plusieurs idées sont
sorties de la discutions, tout d’abord, le chemin entre la tige et la tête de
la fleur était trop long et aussi l’encre était trop diluée dans l’eau lors de
la première fois.
Hippolyte, CE2
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